Pourquoi avoir créé EPCO ?

Parce que nous croyons que notre métier doit se réinventer en se centrant sur les patients.

Nous nous adressons aujourd’hui aussi bien à des patients traités pour des pathologies lourdes, en attente d’un suivi « technique », à ceux qui ne veulent que des conseils avisés ou encore des solutions thérapeutiques naturelles, proches des recettes de nos ascendants : les apothicaires.

En résumé, notre vision du métier du pharmacien d’officine est en passe de devenir un mélange entre maîtrise de technologies modernes du XXIème siècle (i.e. biotechnologie), recettes antédiluviennes de nos prédécesseurs et coordination interprofessionnelle bientôt devenue monnaie courante. C’est cela, le pharmacien de 1er recours que nous appelons de nos vœux.

Avec l’aide de partenaires qui nous accompagnent depuis notre création, nous souhaitons être à la fois un think tank, un laboratoire d’idées d’initiatives locales, un incubateur de start-up pour les futurs professionnels de santé, un agrégateur des énergies créant de la valeur ajoutée pour le patient.

En pleine remise en question du paradigme économique, d’identité et de valeurs, «ceux qui ont une vision claire du but qu’ils visent ont plus de chance d’y parvenir que ceux en plein brouillard ».

Que ceux qui partagent cette philosophie nous rejoignent, vous serez accueillis à bras ouverts.

Pourquoi ?

Pour promouvoir les actions officinales en cohérence avec les missions nationales actuelles et futures des pharmaciens.

Pour communiquer et faire connaitre le savoir-faire des pharmaciens d’officine auprès des patients et des autres professionnels de santé.

Pour que la pluridisciplinarité et la coordination de soins ne soient plus des concepts mais une réalité locale.

Pour quoi ?

Parce que la prise en charge des patients doit être pluridisciplinaire et coordonnée.

Parce que cette prise en charge passe par le développement de la pharmacie clinique en officine.*

Quelles thématiques ?

Des pathologies chroniques qui nécessitent une intervention de pharmacie clinique officinale.
Par exemple, en oncologie, en diabétologie, en gériatrie, en pneumologie (asthme)…
Aussi les affections de premier recours.

Quels outils ?

Livre blanc : constat et propositions pour la pharmacie d’officine de demain.
Posters scientifiques sur la clinique à l’officine
Comité scientifique (patients expert, autres PDS)
Equipe opérationnelle projet (patients expert, autres PDS)

Quelles actions ?

Une manifestation nationale déclinée en régions : les « journées pluridisciplinaires en santé ».
Des actions de formations pluridisciplinaires en régions.
Participer à des congrès nationaux et internationaux par spécialité et interdisciplinaires.
Réaliser des études et des enquêtes sur la pratique officinale, la relation aux patients et autres professionnels de santé et publier au niveau national et international.
Rédaction de référentiels « pharm-attitude » pratico-pratique, nationaux et européens.

Plaquette de présentation

Pour plus d’informations, téléchargez notre plaquette

Plaquette EPCO